Gz- Qu’est-ce qui vous fatigue dans le milieu du tango?
Les paroles, les opinions, les plaintes, l’ingnorance et l’arrogance, la falta de respeto aux maestros des maestros, a l’histoire , aux source, les egos.
Dans le milieu profesional le fait que les hommes ont beaucoup plus de chance et d’opportunités de travail et les femmes doivent faire le triple d’effort. Souvent c’est une femme qui proviens et facilite le travail aux hommes et finalement reste de cote sans être meme remercie.
Gz- Où et avec qui avez-vous découvert le milieu du tango?
J’ai vu le spectacle Tango Pasion en 1992. En venant de la danse (danse classique depuis l’age de 6 ans), j’etais deja dans le monde de danse de couple faisant des competition en Latin and Ballroom dance . C’était un coup de foudre! Je me rappelle que je me suis dit que c’est la plus belle forme de danse que j’ai jamais vu et que je veux faire ca. Mon premiere maestro m’a beaucoup inspirer – Ricardo Calvo!
Gz- Pour vous, où se joue l’avenir du tango?
Le Tango va être present pour toujours. C’est une activité qui fait du bien a l’être humain a tout les niveaux.
Je suis très contente de vivre une generation qui a pu gouter le tango de vieux, le tango jeune – petit a petit plus du monde s’intéresse au tango et je suis très contente être ambassadrice du tango dans le monde et transporter son riche culture aux different endroits et generations.
Gz- Un bon et un mauvais souvenir du tango?
Un bon souvenir : Il y’en a beaucoup! Pour nombre quelque uns: Une tanda de Vals avec Pablo Veron a Tel Aviv; Les soirees milongas de Buenos Aires; Exhibition émouvante de Geraldine Rojas y Javier Rodriguez a Sunderland Buenos Aires; Les stage et etudes avec Gustavo Naveira; Créer des chorégraphie avec Ramiro Izurieta; voir mes élèves progresser et prendre du plaisir.
Un mauvais souvenir : Des souvenirs qui sers toujours comme
« apprentissage de la vie »
Manque de respect et d’appréciation de la part de certain hommes danseurs.
Gz- 3 tangos, 3 orchestres, 3 danseurs
« Gallo Ciego », « Ojos Negros », « Que falta que me haces »
Osvaldo Pugliese, Anibal Troilo, Juan D’arienzo
Geraldine Rojas, Pablo Veron, Natalia Hills
Gz- Quelle est la meilleure manière de terminer une Milonga?
a) Les pieds douloureux après avoir tant dansé
b) A la recherche d’une « after » pour continuer.
c) En allant prendre un petit déjeuner.
d) Avec quelqu’un
E) Autre, (précisez)
E : avoir la belle sensation d’être rempli: partager une belle tanda (preferiblement Pugliese ou rythmique – tango, milonga vals) avec quelqu’un qui écoute et sens la musique de la meme maniere que la mienne; rencontres et charlas, échanges de cultures.