Gz- Qu’est-ce qui vous fatigue dans le milieu du Tango ?
YB- J’adore danser et j’aime le milieu du tango mais je pense que réduire le tango à des mouvements c’est passer à coté de tout ce que le tango peut offrir. Beaucoup de gens et aussi des professeurs ne prennent pas conscience que le tango c’est aussi une culture, une histoire, des valeurs…
Gz- Où et avec qui avez-vous découvert le Tango ?
YB- A Buenos Aires, à la milonga Independencia lors d’un long séjour en Argentine.
C’était mon premier voyage en Argentine, je dansais depuis de longues années la salsa et je me décide à tester un cours de tango. Très vite je me passionne pour la musique, la culture et la danse et découvre le monde fascinant des milongas à Buenos Aires.
Gz- Pour vous où se joue l’avenir du Tango ?
YB- Je n’en ai aucune idée. Ce que j’aimerais voir c’est une diffusion plus large de sa culture et son histoire pour ne pas perdre l’essence. Egalement que le tango soit considéré comme un art avant tout.
Gz- Un bon et un mauvais souvenir de Tango ?
YB- Mauvais : Quand j’ai commencé à prendre des cours à Buenos Aires, le professeur m’a demandé mon numéro de téléphone après le 3ème cours. N’étant vraiment pas intéressé j’ai été obligé de trouver d’autres cours. ☺
Le bon : Il y en a beaucoup, mais le plus marquant est la magie des débuts, la découverte du milieu du tango à Buenos Aires, les milongas, les codes, la danse, la musique, les abrazos, les rencontres…
Gz- 3 Tangos / 3 orchestres / 3 danseurs
YB-
3 tangos :
Pacienca, Juan d’Arienzo
El Pañuelito, Osvaldo Pugliese
Volvamos a empezar, De Angelis avec la Roca
3 orchestres :
Osvaldo Pugliese, Juan d’Arienzo, Hector Varela
3 danseurs/danseuses :
J’aime les couples car je pense que je pense que le tango se vie à deux
Géraldine Rojas et Ezequiel Paludi
Moira Castellano et Javier Rodriguez
Ariadna Naveira et Fernando Sanchez
Gz- Quelle est la meilleurs manière de terminer une Milonga ? Choisissez :
En allant prendre un petit déjeuner entre amis